Wall street art festival : Hendrik BEIKRICH

Avec le Wall street art festival, on en prend plein les yeux ! Après David Walker, c’est au tour de Hendrik BEIKRICH aka ECB de s’exprimer !

© Galerie Mathgoth

Après son projet « Tracing Morocco » avec des marocains…

Hendrik BEIKRICH débute un nouveau projet sur des sibériens qui vivent au bord du lac Baïkal. DARYA est une femme de 83 ans qui vit dans un village minuscule (5 maisons).
Mais plus que de savoir d’où vient une personne, pour l’artiste, le plus important est de savoir qui elle est.

C’est pourquoi Hendrik BEIKRICH ne peint que des gens qu’il a rencontrés et avec qui il a pris le temps de vivre plusieurs jours, pour mieux les comprendre et les apprécier.
L’histoire d’un pays est toujours plus facile à comprendre au travers de ses habitants, de leurs vies et de leurs visages.
Il n’y a pas de sociétés sans les anciens. Aussi, il ne faut pas avoir peur de les mettre en avant et de leur rendre hommage.
L’artiste allemand aime peindre des personnes d’un certain âge. Loin de Photoshop et des portraits lisses que la publicité nous offre, ces visages ont des choses à raconter. Beaucoup de choses !

Dans le cadre de ce nouveau projet, l’artiste va réaliser 11 fresques aux 4 coins du monde : Russie, Allemagne, Etats-Unis, Italie, Pakistan, Grêce, Pays-Bas, Corée du Sud,…
Et bien évidemment la France, et plus particulièrement Evry.

A Evry, dans le quartier des Pyramides…

Dans le cadre du Wall Street Art Festival, Hendrik BEIKRICH est intervenu sur un immeuble de 25 mètres de haut.

Le bailleur « résidences Yvelines Essonne » a permis à ECB de travailler durant 7 jours sur cet immeuble situé dans le quartier des Pyramides (53.000 habitants) à Evry.